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Psycho

10 raisons pour lesquelles les mecs gays peuvent coucher et rester amis

Dans le milieu, nous avons plus ou moins la même relation avec le sexe, surtout quand on est jeune et célibataire. Aujourd’hui, c’est un peu comme les achats en ligne : On fait défiler l’écran, on clique, on ajoute et voilà que ça passe de l’iphone à notre porte.

Pourquoi est-ce si facile de rester pote après avoir couché ensemble chez les gays, voici les 10 principales raisons :

# 1) La relation n’a jamais débutée sur un aspect romantique.

Lorsque vous débutez une relation sans avoir l’étincelle, il y a peut de chance qu’elle finisse par naitre. La différence est là, même si on  s’attache à des critères physiques , peu de risque que ça se finisse par un accrochage ou l’amertume que ça ne puisse aller plus loin.
On se dit simplement : « Sans rancune! ».

2) Nous étions déjà pote et nous nous connaissons trop bien.

C’est un peu comme la fameuse phrase « Oh mon Dieu, jamais! Il est comme un frère pour moi!« .
A l’époque ou l’on a pu franchir le cap sexuel, l’on se connaissait déjà très bien. Surement pas autant qu’aujourd’hui, mais la complicité du début a pu nager en eau trouble.
Dans cette configuration, après des relations sexuelles nous pouvons facilement revenir à la normale car l’amitié existait déjà.

3) On réserve de « faire l’amour » pour quelqu’un d’un peu plus spécial.

C’est un problème que de nombreux mecs gays ont.
Lorsque vous avez une relation sexuelle comme si vous étiez amoureux, vous semez le trouble dans votre cerveau. Inconsciemment vous vous entrainez à vous attacher à cette personne.
Pour être en osmose avec votre esprit, vous devez garder le fait de faire l’amour avec l’homme pour qui vous vous réservez – et non par un coup rapide avec un pote.
Lorsque vous franchissez la ligne, non seulement vous semez la confusion auprès de l’ami en question, mais vous embrouillez aussi votre esprit.

4) Le désir sexuel interdit souvent aux émotions d’entrer.

Les hommes sont des chasseurs et nous voulons ce que nous voulons quand nous en avons besoin. Parfois, l’envie d’avoir un relation sexuelle devient si écrasante que les émotions sont la dernière chose auxquelles nous pensons.
Ajoutez un peu d’alcool et de franches rigolades au mélange, et qui sait ce qui va arriver. Le désir est puissant parce qu’il entrave notre logique – il nous fait faire des choses folles ou parfois stupide qui pourraient être en inadéquation avec notre personnalité.

5) Tension sexuelle sans étincelle.

Sans la petite étincelle, il n’y a guère d’intérêt de vouloir connaître une personne de façon plus profonde. Mais elle n’est pas essentielle pour avoir des rapports sexuels, la tension ou l’envie suffit.
Cette tension apparaît lorsque vous vous y attendez le moins, surtout quand il y a de l’alcool. Vos inhibitions fondent et vous avez cette envie de lâcher vos ardeurs. C’est quand il y a cette attractivité spéciale entre deux personnes que vous réfléchissez à deux fois avant de passer à l’étape supérieur.

6) Ce n’était pas prémédité. Juste du sexe, sans suite.

Ça arrive quand ça arrive. Vous commencez par vous embrasser et avant que vous le réalisiez, vous êtes déjà déshabillé.
Vous n’avez pas attendu des jours, semaines ou mois pour que le désir se construise – c’est ce que vous réservez à la personne que vous aimez vraiment. Ça s’est produit spontanément.

7) Nous en avions besoin tous les deux.

Nous comprenons ce qui nous est arrivé car les hommes ont une compréhension intuitive que le sexe peut être simplement un moyen de se faire du bien. Lorsque nous sommes sur la même longueur d’onde et la même ouverture d’esprit, il est facile de faire ce que nous voulons avec l’autre sans aucun complexe.

8) Nous ne dépendons pas de l’autre pour valider notre potentiel attractif.

Avoir eu des relations sexuelles n’était pas un besoin de valider notre charme ou sex-appeal. Nous pouvons l’avoir fait car nous étions simplement ensemble à ce moment là.
Ça ne voulait rien dire et la plupart du temps, et rien à voir avec un besoin de se sentir sexy ou affirmé.

9) Les sex-friends.

Nous avons tous des amis proches, des potes de sorties & délires… et parfois des sex-friends. Ceux qui sont toujours là quand nous n’avons personne d’autre avec qui partager la nuit. Et aucun de mal à ça puisque nous comptons l’un sur l’autre de cette manière.

10) Nous sommes devenus nos propres jouets sexuels.

C’est peut être assez triste, vraiment.
Nous avons au fur à mesure des année et des outils de rencontres rapides que nous possédons, collé cette étiquette de plan cul potentiel à toute nouvelle rencontre (amicale ou non).
Ceux que nous connaissons bien sont assez intelligents pour ne pas franchir cette limite avec nous. Mais nos connaissances et ceux que nous croisons régulièrement sont potentiellement éligibles pour devenir nos objets de récréation sexuelle.
Ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose, mais une direction vers laquelle beaucoup de gars semblent se diriger. Le sexe nous désensibilise.
Est-ce une bonne ou une mauvaise chose? A toi de décider!

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