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Psycho

Les hétéros comparent plus la taille de leur sexe que les gays

Les mecs gays complexés dans les vestiaires tandis que les hétéros « rivalisent » sur la taille du sexe.

Les hommes hétéros sont apparemment plus susceptibles que les hommes gays à « comparer » la taille de leur sexe dans les vestiaires, c’est ce qu’affirme une nouvelle étude du docteur Christopher Morris-Roberts, maître de conférences à l’Université de Brighton au Royaume Uni.

Dans la recherche pour son doctorat, le Dr Morriss-Roberts à interviewé 8 athlètes Londoniens de différents sports tels que le football, le tennis et le rugby. La moitié de ces hommes s’identifiaient comme gays et l’autre moitié constituée d’hétéros.

Après avoir travaillé cette thèse durant un an, il a trouvé que tous les hommes – qu’importe leur sexualité ou sport – s’étaient déjà penchés à un moment ou à un autre sur les attributs d’un autre dans les vestiaires.

Les hommes gays sont plus complexés que les hétéros, et ont tendance à le faire beaucoup moins, un participant à même confié être « incapable de se changer face à un athlète hétérosexuel pour ne pas le mettre mal à l’aise ».

A l’inverse les sportifs hétéros l’admettent volontiers de façon plus régulière et affirment même avoir déjà « secoués leur sexe » pour provoquer une semi érection et ainsi le rendre un peu plus gros. C’est par contre ce que les gays ont tendance à s’interdire, estimant qu’ils doivent rester hétéronormés en minimisant toute attitude tendancieusement gay.

Le Dr Morriss-Roberts soutient que les athlètes qui ont un gros pénis sont plus susceptibles de dominer dans le vestiaire, car perçus comme plus masculins. Ils sont «idolâtrés» par l’équipe – mais pas d’une manière homosexuelle.

Dans le magazine Outsports, il écrit: « Dans la thèse que je soutiens, un gros pénis est maintenant une composante essentielle de la masculinité hégémonique, et devrait être considéré un nouveau principe du capital masculin – en tenant compte de l’importance qu’il a sur la hiérarchie sociale dans le milieu sportif .

J’ai appelé ça, la cock-supremacy ( NDLR : Suprématie de la bite). »

Il a conclu: «Mon travail suggère que la taille du sexe importe beaucoup dans le sport, indépendamment de la sexualité, de la discipline sportive et de l’âge. »

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